
Le tourisme, lui, demeure loin du compte encore et ne permet pas, à l’heure actuelle, de nourrir le minimum d’espoirs à son sujet. La machine économique algérienne, longtemps dépendante des seules rentrées en devises des hydrocarbures, vient juste de faire le constat de son retard cumulé à tous les niveaux. Pour s’en relever, elle exigera du temps ; et en attendant de trouver les reflexes pour se détacher de la politique rentière, des questions se posent à longueur de lignes.F.O.
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