
Pour lui, le VSP doit être revu, pour mentionner la surface globale du projet et celle de l’appartement. Selon les dires de notre interlocuteur, ils ont payé une tranche intitulée «le coût du terrain», estimée à 15 millions de centimes, au lieu de 13 millions ; mais cette dernière n’a pas été citée dans le contrat. «Lors de ses visites des logements LPA, le wali a menacé d’attaquer en justice les promoteurs qui ne respectent pas les délais et leurs engagements. Maintenant, nous demandons à M. Abbès d’intervenir et d’appliquer ses promesses. Tant qu’il n’y a pas une réaction ferme des autorités, ces promoteurs continuerons à torturer moralement et financièrement les citoyens, qui attendent leurs logements depuis des année », a fulminé M. Bouâfani, qui déplore le penchant de l’administration pour les promoteurs. «Nous nous retrouvons contraints d’assureur le suivi des projets et tout ce qui est nouveau dans notre affaire. Pourtant, cela fait partie des prérogatives de la direction du logement. Les services de cette dernière préfèrent occuper les place des spectateurs, au lieu d’agir», a regretté le représentant des protestataires.
Commentaires